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Qu’est-ce que le coronavirus nous apprend sur notre pays de France ?

By 9 avril 2020juin 26th, 2020Sujet du moment
 

Considérons cette période comme un temps de grâce pour nous arrêter et regarder dans quelle folie nous avons marché jusqu’ici.
Notre vie était devenue une course effrénée, où nous n’avions même plus le temps de réfléchir.

Plus le temps de s’occuper de nos enfants. C’est pourquoi aujourd’hui je voudrais que nous nous concentrions ensemble sur les choix fondamentaux que nous devrions faire dans notre vie de tous les jours :
Premièrement : Réalisons que nous ne pouvons pas mettre notre confiance dans les hommes. Nos représentants politiques, qui nous avaient promis un monde meilleur, n’honorent pas les engagements pour lesquels ils ont été élus, et les prévisions de nos grands spécialistes humains, sont presque tous les jours remises en cause.
Que nous dit la Bible : la Parole de Dieu
Psaume 118 versets 8 et 9 « Mieux vaut chercher un refuge en l’Éternel que de se confier à l’homme ; mieux vaut chercher un refuge en l’Éternel que de se confier aux grands. » C’est pourquoi en tant que pasteur, et au fur et à mesure des semaines qui suivront, je souhaite aborder avec vous plusieurs grandes questions de notre société française face à la Parole de Dieu.
Quelles sont les lois humaines en comparaison avec la loi de Dieu dans des thèmes tels que :
1° Le droit à la vie face à l’avortement.
2° Le mariage pour tous.
3° Le changement de genre.
4° Le choix de l’éducation, les enfants sont-ils la propriété de l’état ou de leurs parents ?
5° Comment l’état veut contrôler le message de l’Évangile dans nos églises évangéliques ?
Et puis, bien sûr, d’autres questions …

 

La preuve : Regardons ce que nos gouvernements français successifs ont déjà voté et légalisé sur un sujet tel que : le droit à la vie face à l’avortement.
Sur le droit à la vie face à l’avortement : Voilà comment cela a débuté :

Et bien, par simple projet de Madame Veil ministre de la santé du Président Giscard d’Estaing, qui a été chargée, de faire adopter la loi dépénalisant le recours par une femme à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Loi qui sera ensuite couramment désignée comme la
« Loi Veil ». Écoutons le projet de cette grande dame :
« Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issues. Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ?
Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme
— je m’excuse de le faire devant cette Assemblée presque exclusivement composée d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes. C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame. C’est pourquoi, si le projet qui vous est présenté tient compte de la situation de fait existante, s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour le contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme. »
C’est pourquoi la Loi Veil du 12 janvier 1975 complète une autre loi initiée par Simone Veil et promulguée au même moment, la loi du 4 décembre 1974, qui autorise les centres de planning familial à délivrer aux mineures à titre gratuit et anonyme des contraceptifs sur prescription médicale, sans limite d’âge.
La loi Neuwirth sur la contraception, promulguée en 1967, était réservée aux femmes majeures, à l’époque âgée de plus de 21 ans.
Et aujourd’hui, qu’est devenu ce droit à l’avortement ?
1°. Un moyen de contraception au bon plaisir de chacun, alors qu’il en existe tellement d’autres.
2°. La liberté de tuer les plus faibles d’entre nous : C’est à dire les bébés sans défense.
3°. L’avortement est devenu un moyen de régularisation des naissances au bon plaisir de chacun ! Il s’agit là, de la banalisation de 250 .000 morts par an. L’enfant n’est plus une bénédiction, mais une gêne.
4°. Comme cela a été déclaré dans les journaux dernièrement, par deux ministres : Que l’avortement est une des valeurs la plus fondamentale de notre société française : «celle de l’émancipation des femmes et de leur droit à disposer de leur corps.»
Et certains réclament l’allongement des délais d’avortements ! La mort des enfants est une priorité pour notre gouvernement !
Alors que plus de 7500 adultes sont déjà morts de ce coronavirus, à ce jour : le 6-4-2020.
L’avortement est-il un progrès de notre société ?
Voilà la réponse la réponse de Jim Daly, Président de « Focus on the Family » à la nouvelle loi de l’État de New York, qui légalise l’avortement jusqu’au dernier jour du terme !
Une échographie en 4 D diffusée lors d’un grand événement, sur les écrans de Times Square aux États-Unis. Nous montre qu’il est impossible qu’une personne puisse dire ce n’est pas un enfant !


Regardez cette photo. Personne ne peut pas dire que ce n’est pas un enfant !
Le Président de Focus on the Family compare la situation actuelle à New-York, avec les infanticides pratiqués à Rome et dans la Grèce antique, publié dans les annales de démographie historique, Robert Étienne résume en quelques phrases la place des nouveaux-nés dans la cité à cette période, et confirme le point de vue de Jim Daly.
« La médecine antique semble avoir fait peu de cas de la vie du nouveau-né. Hippocrate pose comme naturelle la question de savoir ‘quels enfants il convient d’élever’.
Soranos, sans s’émouvoir, définit la puériculture comme l’art de décider ‘quels sont les nouveaux-nés qui méritent qu’on les élève’.
Cette impitoyable sélection ne caractérise pas seulement une attitude scientifique, mais également celle d’une société tout entière.
En effet, Cicéron, que l’on ne peut accuser d’inhumanité, pensait que la mort d’un enfant se supporte aequo animo (d’une âme égale).
Sénèque jugeait raisonnable la noyade des enfants débiles et faibles. Tacite qualifie d’excentrique la coutume des Juifs à ne vouloir supprimer aucun nourrisson ; et quand Justin évoque le respect des chrétiens pour la vie de l’enfant il précise : « fût-il nouveau-né’. »
Faisant le parallèle entre l’avortement jusqu’au jour du terme et l’infanticide pratiquée à Rome et dans la Grèce antique, Jim Daly, rappelle également le rôle joué par les chrétiens pour que ces pratiques prennent fin.« Je voudrais juste dire aux chrétiens en particulier : ce n’est pas nouveau. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. C’est un retour à la Rome antique. Les chrétiens étaient connus pour avoir sauvé des bébés jetés dans les tas d’ordures pour mourir. C’était leur forme d’infanticide appelé l’exposition !
Donc, ce n’est pas quelque chose de nouveau, mais à l’époque ce sont les chrétiens qui se sont levés et qui ont dit : ‘Non, tout être humain est créé à l’image de Dieu et nous ne pouvons pas détruire des êtres humains innocents.’ En France depuis 2001, le nombre d’IVG varie entre 215.000 et 230 000 IVG par an, soit en moyenne environ 220 000 annuel x 19 ans = 4.218 millions d’enfants tués. Depuis 1975, environ 3.2 millions + 4.2 Millions = 7.4 millions d’enfants qui ont été sacrifiés.
Pour comparer : le bilan humain de la guerre 14-19 a fait 9.3 millions dont 1.4 millions de Français, 2 millions d’Allemands et 1.8 millions de Russes. J’annonce juste les chiffres : à vous de juger.
Maintenant que dit la Bible sur les enfants :
Première chose, la Bible n’est pas un livre spécialisé dans l’éducation des enfants, mais elle en parle un grand nombre de fois. Par exemple le mot « enfant » au singulier se trouve 177 fois, quand « enfants » au pluriel 1078 fois.
Regardons quelques passages :
Premièrement, le premier meurtre dans la Bible est raconté dans Genèse 4 verset 8. « Caïn tua Abel son frère. »
Puis vient dans l’Exode 20 :13 : « Tu ne tueras point ».Dans le Deutéronome 5 : 17 « Tu ne tueras point » à nouveau. Et, même dans le Nouveau Testament dans l’Évangile de Matthieu 5 : 21« Vous avez entendu dire qu’il a été dit aux anciens : tu ne tueras point ; celui qui tuera mérite d’être puni par les juges. »
Chez nous, en France, ce sont les juges qui condamnent ceux qui sont contre l’avortement ! Un comble … et on appelle notre pays :  » Le pays des droits de l’homme «  C’est le monde à l’envers ! Mais je dois vous dire que j’aime mon pays la France, et je prie et pleure souvent sur ses lois iniques et je m’attends à ce qu’un jour les choses tournent dans le bon sens !  Dieu a su donner à Abraham, un bélier en substitution au sacrifice d’Isaac, cela a marqué l’abandon des sacrifices humains par la civilisation naissante.
Écoutons ce que nous dit la Bible concernant nos enfants vis à vis de leurs parents :
Psaume 127 : 3 «  Voici, des fils sont un héritage de l’Éternel, le fruit des entrailles est une récompense. Comme les flèches dans la main d’un guerrier, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l’homme qui en a rempli son carquois ! Ils ne seront pas confus, quand ils parleront avec des ennemis à la porte ».
Psaume 128 : 3 « Ta femme est comme une vigne féconde dans l’intérieur de ta maison ; tes fils sont comme des plants d’olivier, autour de ta table. C’est ainsi qu’est béni l’homme qui craint l’Éternel. » Dans le livre du prophète Malachie au chapitre 4 verset 1. Il est dit : » Il ramènera le cœur des pères à leurs enfants, et le cœur des enfants à leurs pères. De peur que je ne vienne frapper le pays d’ interdit ! »
Dans l’Évangile de Marc au chapitre 9 : verset 37 « Quiconque reçoit en mon nom un de ces petits enfants me reçoit moi-même ; et quiconque me reçoit, reçoit non pas moi, mais celui qui m’a envoyé. »
Dans l’Évangile de Matthieu au chapitre : 19 verset 14. Jésus dit : » Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi, car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. « 
Dans l’Évangile de Matthieu chapitre 27 et ou verset 25 : » Et tout le peuple répondit : Que son sang (Le sang de Jésus, le juste ) retombe sur nous et sur nos enfants. »
Au Moyen Âge, spécialement pendant les épidémies de peste noire, les Juifs étaient facilement accusés de sacrifier des enfants chrétiens, et
souffraient souvent de ces terribles, fausses accusations.
Le seul sacrifice que Dieu lui-même ait autorisé est celui de son fils Jésus de Nazareth qui s’est sacrifié sur la croix pour sauver le genre humain, pour justement pardonner les péchés de tous les hommes et de toutes les femmes qui entre autres, auraient eu recours à l’avortement. Cela, c’est la bonne nouvelle de l’Évangile
Rappelons-nous que de tout temps pour une femme mariée, ne pas avoir d’enfant était une grande humiliation
D’ailleurs, la vraie médecine essaye par tous les moyens de permettre aux couples d’être parents, mais hélas, 10% des couples restent infertiles, au bout de 2 ans de tentatives, et ce chiffre en pleine augmentation est dû à l’évolution des conditions de vie, du climat et de multiples facteurs aggravants. J’ai tenté d’analyser le budget de l’état de 2020 au niveau de la santé, mais, bien sûr aucun chiffre n’apparaît dans ces dossiers du PLF 2020 pour comparer le budget infécondité au budget avortement. Mais hélas, il est facile d’en imaginer le déséquilibre criant. Il était simplement prévu cette année une baisse de 0.5 % du budget santé tellement on était optimiste.Maintenant mes amis ; regardons le serment d’Hippocrate, vous pourrez arrêter la vidéo pour le lire, il est dit : Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Le Conseil National de l’Ordre des médecins s’oppose à la suppression de la clause de conscience, relative à l’IVG et rappelle qu’il s’agit d’une disposition fondamentale prévue par le code de déontologie médicale, et par le code de la santé publique, cette clause de conscience est menacée par les dernières recommandations de la délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes, présentées le 19 février dernier, qui visent à introduire de nouvelles dispositions dans le projet de loi santé. Parmi ces propositions, celle selon laquelle les professionnels de santé ne pourraient plus invoquer la clause de conscience en cas de demande d’interruption volontaire de grossesse (IVG), cela suscite une vive  inquiétude. L’Ordre des médecins souhaite rappeler que le code de déontologie médicale et le code de santé publique prévoient une
clause de conscience applicable à tous les médecins pour l’ensemble des actes médicaux.
L’Ordre des médecins, ne comprendrait pas qu’un droit fondamental de liberté de conscience soit refusé à un médecin alors qu’il fait partie des droits inaliénables de tout citoyen français. 
Depuis pas mal d’années, nous sommes dirigés par des hommes politiques qui ne sont plus « des pères » ou s’ils le sont, se montrent déficients entre ce qu’ils disent et ce qu’ils vivent ! Et leurs enfants sont souvent de fameux garnements !
Mais la Parole de Dieu nous invite à être soumis aux autorités. Et il faut prier pour eux, afin qu’elles ne promulguent plus des lois contraires au plan de Dieu ! Dans l’Épître de Paul aux Romains au chapitre 13 et au verset 1. Il est dit :« Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures  ; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. »
Et si ces lois sont contraires au plan de Dieu ? La Parole de Dieu nous dit alors : Dans Acte 5 verset 29 « Pierre et les apôtres répondirent :  » Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. « 
Mais, mes frères et sœurs : restons dans la paix, prions et attendons-nous à Dieu ! Car il est capable d’inverser complètement la situation en quelques mois !
« Donc soyons tranquille, ne craignons rien et que notre cœur ne s’alarme pas! » Comme nous dit et Esaïe au chapitre 7 verset 4
Prions pour notre pays, intercédons, demandons à Dieu de parler aux cœurs de ces hommes, afin qu’ils puissent reconnaître leur folie. Que le Seigneur vous bénisse.
Nous allons continuer la semaine prochaine, sur ces différents sujets.

A bientôt donc !

 

 

 

 

 

 

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